Nom : Van Esthaner
Prénom : Kamil
Surnom :Romaest (ne cherchez pas de rapport)
Âge : 23 ans tous crachés.
Sexe :Masculin
Métier : (en recherche d’emploi. On verra ce qui vous arrangera.)
Apparence: Kamil est relativement petit et pas vraiment large. Sa peau est légèrement cannelle, son regard est noir dans les deux sens du terme. Il a gardé des proportions d’enfant et un visage tout aussi rond, malgré l’air dur qu’il affiche souvent. Il porte diverses cicatrices sur tout le corps, mais la plus voyante est celle qui déchire sa joue en deux. On le reconnaît aussi à son épaisse tignasse noire et aux quelques mèches blanches qu’il cache derrière ses oreilles. Il est assez rapide dans tout ce qu’il fait, mais n’est pas vraiment soigneux. Souvent dans la lune et un peu tête-en-l’air (parce que la lune n’est pas sous terre), il commence à s’habituer aux tirages d’oreilles et aux « mais tu vas bosser sérieusement, oui ?! ». Il reste malgré tout ça très ironique et joueur…
Histoire :
Kamil est né au Maroc, d’une mère marocaine et d’un père suédois. Enfin, en théorie. Il s’est avéré que le père biologique de gamin n’était pas celui que l’on croyait. Et donc après, son père (le faux, pas biologique) a tué sa mère (la vraie) et ça tombait bien parce que le temps que Kamil naisse il s’était trouvé une autre chérie (la fausse) et c’est grâce à cette dernière que le petiot (Kamil) n’a pas été tué…Bon en même temps, le père (le faux) n’était pas très net mais… Vous me suivez ? (pas grave… Dites vous que cette partie n’est pas hyper-importante et que de toutes façons, Kamil n’en parle jamais. Normal ! Il était tout petit quand ça lui est arrivé !)
Bref, il a eu une enfance un peu bizarre. Il a vu l’écosse, la France, un bout d’Italie. Au final, c’est à onze ans et en Allemagne qu’il a participé à son premier procès… En tant que témoin d’un meurtre. L’accusé : son père. Autant vous dire que le gamin en a profité pour dénoncer les blessures que le bonhomme lui avait infligées. L’accusé a donc été incarcéré. Sa femme aussi, pour complicité d’assassinat (sévère, le juge… mais quand on pense qu’il n’y avait pas qu’un assassinat…). Donc le gamin a été placé dans une famille d’accueil.
Il a pu continuer gentiment les études qu’il avait commencé (ou pas). Sa passion nouvelle pour la justice l’amena à faire des études de droits mais elles s’avérèrent trop dures pour lui et loin des procès passionnants qu’il connaissait. Armé des quelques diplômes qu’il avait déjà obtenu, il laissa de côté les études et parti à la recherche d’un travail qui en demandait un peu moins…